En mettant en place une convention citoyenne sur les temps de l’enfant par le prisme de l’organisation de la journée d’école et des vacances scolaires, le président Macron choisit la communication plutôt que le fond : il passe une fois de plus à côté des enjeux de l’école. Pour la FSU-SNUipp la question devrait être de déterminer quels moyens on donne aux professionnels de l’éducation pour réussir leurs missions essentielles, celle de faire réussir tous les élèves. La FSU-SNUipp voit cette proposition de convention citoyenne sur les rythmes de l'enfant et notamment la question des vacances, comme une nouvelle attaque envers les profs et le métier. Comme s'il n 'y avait pas autre chose à faire...